Le blog de revevirtuelle

il releva mon visage, me mit debout.......
,j'étais au bord du désespoir. tendrement,il me mit dans son lit ,encore chaud d'avoir été bassiné.pourtant je claquais des dents . quand il me prit dans ces bras patiemment,il me réchauffa, me parlant-bas,usant des mots qu'il employait avec ses enfants,ses chevaux ou ses chiens. l'envie venait de me battre avec lui,non de subir en silence.seigneur,aidez moi,empêcher-moi de crier, de m'accrocher a lui priai-je éperdue.je vous en supplie...je vous en supplie....c'est peut être a son intention que je balbutiai ces dernières paroles.je ne sais s'il m'entendit . il fit comme si je l'invitais a poursuivre et non à s'interrompre.je le voulais,cet homme,et il le savait. j'essayai confusément de me raisonner,je m'affolai, il me sembla que je délirais. je ne supportais plus cette chemise entre sa peau et la mienne. il me l'enleva,puis se mit à m'embrasser, doucement d'abord,et bientôt âprement. jusqu'à la ,j'avais a peine osé le toucher . soudain ,je le saisis à pleins bras,je sentis une cicatrice dans son dos,puis je finis par me laisser aller ,me laisser aimer,geignant de peur et d'extase.j'espère qu'il ne m'entendait pas, je lui sanglotais dans les dents,je râlais dans son épaule des "vous me faites mourir,vous me tuez,ô Dieu,vous me faites mourir."..........
FONTBRUNE
BRIGITTE LE VARLET
Mer 29 oct 2008
2 commentaires
Voici un texte ... à toi de l'imager comme tu le souhaites, comme tu le ressens ! A toi loisir de le mettre sur ton blog; il ira sur le mien ! Bisous doux.
Sur un tempo sensuel,
Je la regarde marcher, le corps en dentelles,
Démarche chaloupée,
Jusqu'au bout des doigts, racée,
Sur cette musique d'Era,
Dans l'attente, soudain te voilà,
Te regarder te mordre les lèvres,
Sentir en moi, doucement, la fièvre,
L'envie d'un baiser sur tes épaules,
En laisser, un, juste un qui frôle,
Me voici ressentir les picots,
Ceux qui font monter la tension jusque sur la peau,
Je suis peut être second fusil,
Cependant j'ai la jouissance de t'avoir dans mon lit,
Oh, certes, les jeux ne sont pas gagnés, évidence,
Néanmoins, désirs, sensualité, tout devient intense,
Pas un mot à dire,
Juste peut être t'obéir,
Et par surprise, mettre un genou à terre,
T'avouer le moindre de mes secrets, voluptueux mystères,
Qui m'a fait t'Aimer d'un coup,
Sûrement la foudre et la déposer là dans ton cou,
Me laisser dans le miroir pour constater le trouble,
Je sais alors que ce soir ce sera coup double,
Mais sans prétentions,
Je vais t'Aimer, bousculer tes émotions,
Que tu te taises,
Sera pour moi l'aveu sublime de la braise,
Elles vont s'exprimer violemment,
Je m'offrirais loisirs de suivre les sillons de ton volcan.
Manup2 - le 29/10/2008 à 17h48
Manu ,
voila un trés beau texte ,comme quoi il ne faut pas abandonner la plume.
je te demande un peu de temps pour trouver la photo ,mais avec plaisir ,je vais le faire
a bientôt
voila un trés beau texte ,comme quoi il ne faut pas abandonner la plume.
je te demande un peu de temps pour trouver la photo ,mais avec plaisir ,je vais le faire
a bientôt
revevirtuelle
Elle est debout sur mes paupières
Et ses cheveux sont dans les miens,
Elle a la forme de mes mains,
Elle a la couleur de mes yeux,
Elle s'engloutit dans mon ombre
Comme une pierre sur le ciel.
Elle a les yeux toujours ouverts
Et ne me laisse pas dormir.
Ses rêves en pleine lumière
Font s'évaporer les soleils,
Me font rire, pleurer et rire,
Parler sans avoir rien à dire.
Paul Eluard
phil - le 29/10/2008 à 21h30
comme toujours compléte harmonie.
bonne journée a toi .
bisoux.
bonne journée a toi .
bisoux.
revevirtuelle