La main sur la vulve, Je me laisse envahir par les sensations.

Bite en silicone au fin fond de ma chatte, qui me procure des frissons ….

A côtes de ma cuisse, dans mon autre main, petit boitier…..

Ou à coup de doigté  léger, je m’amuse avec un variateur de vitesse, rotation…..

A l’écoute de cet engin, qui me fouille, m’explore, s’enfonce dans l’humidité de ma fleur, je frémie.

Queue en jouet, dont les ailes de papillon, vrai sangsues aspirent ma chair.

Mon ventre se creuse, mes hanches ondulent selon le plaisir….

Par moment ma respiration devient un peu trop rapide, je relâche ce bouton, m’apaise puis repart de plus belle.

Les yeux fermés, je sens ma chatte aspiré cette grosseur l’enduisant de ma plus belle mouille….

Trop occupée à mon plaisir solitaire, jaloux de cet attribut….

Sans bruit, tu as surgi….

Infiltré tes doigts maniant avec allégresse ce toy….

Me l’enfonçant davantage, par a coups a moitié sorti, a moitié rentré, frôlant mon bouton si dure, si sensible…..

Verge de pacotille, tes doigts savent lui donner la vie, labourée avec tellement de joie dans tes yeux…..

Moment suprême ….

Ou mon cul soulevé, tu as commencé à jouer avec ma rondelle…

Yeux dans les yeux, tu y as enfoncé avec douceur un doigt, puis …élargissant ce trou ….

Puis ta bite, bien dure faite de chair, de sang, s’est enfoncé tout naturellement, me défonçant avec rythme….

Deux queues justes séparées par une mince paroi, râpée de toute part, me défonçant avec délice…..

Mon corps se tord, ta main plaqué contre ce jouet, l’empechant de sortir ….

Combat de bites dans mes trous, me possédant  encore plus …..

J’inonde, j’inonde tous ce qui est enfoui au fin fond de mes entrailles …..

Ton regard vacille en même temps que le mien, des paupières comme les miennes se ferment par instant savourant chaque seconde de ce plaisir, cette jouissance qui nous envahit au  delà de tout…..nos cris se mêlent, nos corps s’accouplent

Ne plus bouger, reprendre contact doucement avec la réalité, se plonger encore une fois dans le regard de l’autre pour y voire la joie de ce moment si fugitif.